L’équipe Perspectives Jeunesse

Sur le terrain ou dans les bureaux, l’équipe Perspectives Jeunesse met tout en œuvre pour offrir un accompagnement individuel aux jeunes en difficulté visant l’atteinte de leurs objectifs personnels. En tant qu’agent pivot, notre équipe d’intervention s’entoure de tous les acteurs de la communauté selon les besoins et favorise leur lien de confiance avec le ou la jeune, nécessaire à sa réussite.

Découvrez les témoignages de notre équipe

Yann

Intervenant en persévérance scolaire, programme Plan C – Rosemont – La Petite-Patrie

Pouvez-vous nous décrire votre rôle au sein de Perspectives Jeunesse (PJ)?

Je travaille pour le programme Plan C dans Rosemont – La Petite-Patrie. Je suis intervenant en persévérance scolaire. Tout au long de l’année scolaire, j’accompagne les jeunes de 15 à 24 ans sur l’île de Montréal, qui ont des besoins psychosociaux (rencontres individuelles). Aussi, je me charge d’accompagner les jeunes de notre classe alternative (volet scolaire) et je participe à la vie de groupe ainsi qu’à l’animation des ateliers du mercredi. Finalement, je m’occupe du recrutement et de faire connaître notre ressource aux différents acteurs et partenaires du milieu.

L’équipe d’intervention de PJ agit comme agent pivot entre les différentes parties prenantes de la persévérance des jeunes. Pouvez-vous nous expliquer ce que cela signifie concrètement dans votre quotidien d’intervenant?

Par exemple, lorsqu’un ou une jeune se présente et a besoin de soutien psychologique, je la mets en relation avec les ressources spécialisées (CLSC, Aire-ouverte, etc.). Un autre exemple serait lorsqu’un intervenant me réfère un ou une jeune : je m’assure de rencontrer les directions d’école, l’intervenant et les parents pour que les informations soient les mêmes pour tout le monde.

Quelle expérience retirez-vous de votre travail à PJ?

Ce que je retire de mon travail à PJ c’est qu’il y a un impact significatif dans la vie des jeunes lorsque nous faisons notre travail comme il se doit. Par exemple, j’ai rencontré un jeune qui n’avait pas d’emploi, n’allait pas à l’école, n’avait pas de suivi psychologique et restait chez lui. Après quelques mois d’accompagnement, il a débuté des activités, du bénévolat, a vu un médecin et participe à un suivi psychosocial. Il ne passe presque plus de temps chez lui et dit aller mieux mentalement et physiquement. Ceci est une histoire, mais j’en ai des dizaines d’autres comme celle-ci.

En quoi travailler à PJ a changé votre approche ou votre travail d’intervention?

J’avais une approche plus confrontante dans le passé (en lien avec mes autres mandats). Maintenant, j’ai plus le rôle d’un guide avec les jeunes. J’accompagne les jeunes à leur rythme avec les forces et les difficultés rencontrées.

En tant qu’acteur important dans la persévérance scolaire et sociale des jeunes, pouvez-vous nous décrire en quoi et comment vous faites une différence?

Puisque notre approche est centrée sur le jeune et ses besoins, je sens que les jeunes ont de la facilité à s’ouvrir à moi, ce qui favorise la réussite des interventions. Pour les parents, ils m’ont nommé apprécier ma disponibilité, mon écoute et ma capacité à agir en tant qu’agent pivot afin de favoriser la communication avec le jeune, les autres professionnels et l’école. Les partenaires scolaires nomment apprécier notre travail et le service qu’on offre. Ils disent souvent être soulagés d’avoir trouvé notre ressource qui s’adapte aux besoins des jeunes. On nous dit souvent que PJ est une perle rare. Finalement, pour les partenaires sociaux, ils sont toujours ouverts à travailler avec nous pour des activités, venir participer à nos ateliers, les animer ou m’accueillir dans leurs points de service.

Un dernier mot?

J’adore Perspectives Jeunesse!

Pascale

Intervenante en persévérance scolaire, programme Option – école Père-Marquette.

Pouvez-vous nous décrire votre rôle au sein de Perspectives Jeunesse (PJ)?

Comme intervenante en persévérance scolaire (IPS), au programme Option à l’école Père-Marquette, j’offre un accompagnement individuel aux jeunes qui présentent divers facteurs de risque associés au décrochage scolaire. La clientèle est âgée de 12 à 18 ans et provient de tous les niveaux de secondaire (1 à 5), peu importe leur cheminement. Les références se font par le biais de l’équipe-école principalement, cela peut également être des autoréférences ou encore à l’occasion provenir de parents ou de l’externe.

Mon travail consiste d’abord à développer une relation de confiance avec le jeune, d’établir ensuite ses besoins prioritaires ainsi que ses objectifs (versus les motifs de référence) pour travailler de concert avec lui pour favoriser sa persévérance scolaire. C’est aussi d’impliquer, de soutenir ou de bonifier le nombre d’acteurs pouvant être partenaires afin de contribuer à cet objectif. Le rôle de l’IPS offre des opportunités de mise en action et de réussites diverses au jeune, par les rencontres individuelles, les activités, les accompagnements vers des ressources externes ou dans le milieu, dans le but de lui permettre de vivre de la satisfaction personnelle face à l’engagement qu’il a dans ses démarches volontaires avec PJ.

Ces réussites influencent ensuite différentes sphères de sa vie, se transfèrent positivement. En fait, je crois que nous sommes présents pour semer de la confiance en soi et de l’estime de soi. Des ingrédients essentiels à la motivation intrinsèque.

L’équipe d’intervention de PJ agit comme agent pivot entre les différentes parties prenantes de la persévérance des jeunes. Pouvez-vous nous expliquer ce que cela signifie concrètement dans votre quotidien d’intervenante?

Notre présence au sein du milieu scolaire est riche à divers points de vue. Nous favorisons le développement ou le maintien des ponts entre le jeune/l’école/la famille/la communauté, toujours dans le souci de répondre optimalement aux besoins de nos jeunes en accompagnement, ou pour l’ensemble des jeunes de nos milieux.

Exemple : en tant qu’agente de liaison, j’ai facilité l’intégration de LOVE Québec dans le milieu ce qui leur a permis de sensibiliser et outiller les jeunes dans leurs relations bienveillantes/non-violentes envers eux-mêmes et les autres. Grâce à leurs animations durant 12 à 24 semaines, l’organisme a pu créer des liens avec des jeunes qui n’avaient pas forcément de soutien dans leurs vies et avaient des besoins. Nous avons ensuite pu collaborer afin de mettre en place des moyens pour les soutenir dans leurs besoins divers. Dans cette équation, tout le monde est gagnant : le jeune, LOVE, l’IPS, l’école et la famille.

À noter que nos organismes de quartier sont vraiment reconnaissants de pouvoir faire appel à nous lorsqu’ils désirent faire connaître leurs activités/services auprès des directions d’école. Notre rôle d’agent pivot nous permet ainsi de faciliter l’accès à des services répondant aux besoins de nos jeunes, en les faisant venir directement à l’école.

Quelle expérience retirez-vous de votre travail à PJ?

Après 8 ans, une jeune m’a écrit dernièrement pour me dire que j’avais été un modèle pour sa persévérance et que j’avais fait une différence dans le développement de « la belle personne » qu’elle est aujourd’hui. Pour moi, ce témoignage est vraiment important. Cette jeune a eu un parcours scolaire difficile. Elle a grandi dans un environnement très peu favorable et collaborant dans sa persévérance. Je l’ai aidé à faire diverses démarches à l’école et à l’extérieur pendant plus d’une année scolaire. Elle s’est aussi engagée dans mes sorties, mes activités. L’estime de soi était à -10 lors de notre rencontre. Le fait qu’elle s’apprécie aujourd’hui et m’en attribue une part de responsabilité est très significatif. Je suis privilégiée d’avoir eu sa confiance et cette reconnaissance!

En quoi travailler à PJ a changé votre approche ou votre travail d’intervention?

J’ai la conviction que tenter d’agir sur l’environnement du jeune si celui-ci est en cause dans ses difficultés d’adaptation vaut toujours le coup! Qui n’essaie rien n’a rien et lorsqu’on demande quelque chose, avec des justifications et des propositions de solutions, c’est très souvent bien accueilli, peu importe le cadre.

Travailler à PJ c’est chaque jour me dire que je suis là dans le respect des capacités de chacun, me souvenir de l’importance de valoriser les petits pas et d’accueillir parfois ceux qui semblent être des reculs (ce sont des élans!), et de l’importance de respecter le rythme des gens. Parce que mis à part s’il faut agir pour une question de sécurité, il n’y a pas d’urgence pour l’IPS. Le travail ne se fait pas en réaction. Rappelons-nous que notre mandat est en prévention. L’urgence de PJ n’est pas la même que l’urgence d’un milieu scolaire. C’est notre rôle de maintenir l’approche ainsi, et de tenter de propager cette vision aussi.

En tant qu’acteur important dans la persévérance scolaire et sociale des jeunes, pouvez-vous nous décrire en quoi et comment vous faites une différence?

Les témoignages sont nombreux à cet effet. Je crois que nous côtoyer fait du bien. Nous ne représentons pas l’autorité, nous sommes ouverts à sortir du milieu, à participer à la mise en place d’activités ouvertes à tous. Nous pouvons offrir écoute et conseils à tous les partenaires vis-à-vis de la persévérance ainsi qu’un regard objectif, externe et bienveillant dans des situations pouvant générer de l’insatisfaction ou de l’impuissance. Cela, toujours dans le but d’améliorer la situation du jeune. C’est assez précieux et nous sommes souvent reconnus comme tels!

Marie-Christine

Intervenante en persévérance scolaire, programme Option – école Joseph-François-Perrault.

Pouvez-vous nous décrire votre rôle au sein de Perspectives Jeunesse (PJ)?

Je suis intervenante en persévérance scolaire (IPS). Je travaille au programme Option à l’école Joseph-François-Perrault située dans le quartier Saint-Michel. Il y a beaucoup de diversité culturelle, de diversité sexuelle et d’un faible niveau socio-économique dans le quartier. L’école Joseph-François-Perrault offre également FOCUS, un programme d’adaptation scolaire pour les élèves vivant des difficultés d’apprentissage et qui sont à risque de décrochage (14-18 ans). J’ai donc la chance d’intervenir avec une clientèle diversifiée et qui peut grandement bénéficier de services d’accompagnement comme celui qu’offre Perspectives Jeunesse.

L’équipe d’intervention de PJ agit comme agent pivot entre les différentes parties prenantes de la persévérance des jeunes. Pouvez-vous nous expliquer ce que cela signifie concrètement dans votre quotidien d’intervenante?

Les différentes parties prenantes de la persévérance des jeunes peuvent être le cercle social, l’implication dans l’école (conseil étudiant, parascolaire…), le sentiment d’appartenance, par exemple. Le travail de l’IPS est de faire ressortir ces facteurs auprès de l’élève en accompagnement. Favoriser l’implication du jeune par la valorisation et l’acceptation. Par exemple, si une élève, qui participe au conseil étudiant, se présente au bureau de l’IPS et lui dit qu’elle manque de motivation, le renforcement positif et la valorisation de son implication dans la vie étudiante seront mis de l’avant afin de la valoriser et améliorer ainsi sa motivation.

Quelle expérience retirez-vous de votre travail à PJ?

Ce qui m’a le plus marqué en travaillant à PJ est le manque de ressources psychosociales disponibles dans les écoles. Il y a beaucoup de jeunes qui ne reçoivent pas le soutien dont ils ont besoin. Comme les postes d’IPS sont des ajouts aux services de soutien, lorsqu’un élève bénéficie de mon service et grandit grâce à celui-ci, je ne peux m’empêcher de penser au fait qu’il n’aurait pas eu de service si l’école n’avait pas de partenariat avec Perspectives Jeunesse. Cela m’amène à penser à toutes les écoles qui n’ont pas notre service. Je suis également impressionnée par la capacité des élèves à faire confiance aux IPS, le désir de changement et d’amélioration de chaque élève et leur capacité à faire beaucoup avec seulement un peu de support.

En quoi travailler à PJ a changé votre approche ou votre travail d’intervention?

PJ m’a permis d’apprendre à travailler en partenariat avec les autres ressources disponibles pour l’élève afin d’adapter un accompagnement personnalisé répondant à ses besoins. Le travail d’équipe entre les différents intervenants de l’école, dans le respect des responsabilités et du mandat de chacun, donne vraiment de beaux résultats et permet une combinaison de services unique pour chaque élève. Je n’avais jamais eu la chance de travailler avec autant de partenaires auparavant. Être un partenaire communautaire directement dans l’école facilite grandement ce genre de partenariat. C’est, selon moi, la force de Perspectives Jeunesse.

En tant qu’acteur important dans la persévérance scolaire et sociale des jeunes, pouvez-vous nous décrire en quoi et comment vous faites une différence?

Je crois que je fais une différence avec l’écoute que j’offre aux participants. Le besoin d’être écouté d’un adulte est souvent nommé par les élèves. Comme les jeunes sont principalement en contact avec les enseignants et enseignantes, qui ont une tâche académique immense, le temps d’écoute qu’ils peuvent offrir aux élèves ne leur semble pas suffisant. C’est pourquoi un moment dans la journée avec son IPS, qui prend le temps de s’assoir pour recevoir ce que l’élève a à dire, peut-être déterminant dans le bien-être de celui-ci. Il est alors mieux disposé pour se concentrer et écouter à son tour son cours de mathématiques. Les démarches et suivis qu’entraine un accompagnement régulier avec un élève ne sont que la suite de l’écoute qui leur est accordée.

Pourquoi aimez-vous travailler à Perspectives Jeunesse?

J’aime travailler à PJ pour le professionnalisme de l’organisation. Le respect entre employés, membres du CA et participants se ressent.

J’aime travailler à PJ pour la confiance qui m’est accordée, la reconnaissance de mon travail et de mes idées.

J’aime travailler à PJ pour l’importance que les employeurs accordent au bien-être de leurs employés.

J’aime travailler à PJ pour la diversité des tâches de travail. Chaque jour, il y a un nouveau projet, de nouvelles rencontres, mais j’aime aussi la latitude qui m’est accordée dans l’implantation d’un projet. Chaque IPS peut faire des projets qui les motivent personnellement et professionnellement. Choisir mes projets fait en sorte que je crois à tout ce que je présente dans l’école et donc améliore nettement la qualité de mon travail.

Ève

Directrice des programmes

Pouvez-vous nous décrire votre rôle au sein de Perspectives Jeunesse (PJ)?

En tant que directrice des programmes, mon rôle est de veiller à l’atteinte des objectifs inscrits au Plan d’action de l’organisme, de soutenir l’équipe dans le déploiement de leurs projets et de veiller à la mise en place de la planification stratégique. Je suis amenée à travailler sur le maintien des bonnes pratiques à Perspectives Jeunesse, l’évaluation de nos programmes ainsi qu’au développement de nouveaux projets et programmes.

Bien que vous ne soyez pas en première ligne avec les jeunes comme l’équipe d’intervention, en travaillant pour PJ vous êtes indéniablement un acteur important dans la persévérance scolaire et sociale des jeunes. Pouvez-vous nous décrire en quoi vous faites une différence et comment vous participez à la lutte au décrochage scolaire des jeunes?

L’équipe d’intervention fait un travail incroyable auprès des jeunes. Je pense que le soutien que je leur offre dans divers aspects de leur travail me permet tout de même d’avoir un impact dans la vie des jeunes que l’on accompagne. Mon travail permet d’assurer une uniformité dans les services offerts aux jeunes de tous nos programmes.

Quelle expérience retirez-vous de votre travail à PJ? Partagez-nous ce dont vous êtes le plus fière depuis que vous travaillez à PJ.

Depuis mon arrivée en 2014, la situation de Perspectives Jeunesse a beaucoup évolué : d’une équipe de 5, nous sommes passés à 20 membres du personnel, bientôt 22, c’est dire l’importance du développement de l’organisme. Je suis fière de plusieurs accomplissements, tels que le développement de nombreux partenariats avec des écoles secondaires de Montréal pour l’implantation du programme Option, le maintien d’une cohésion et d’un sentiment d’appartenance fort au sein de l’équipe, etc.

Je suis particulièrement fière de l’épanouissement du programme Plan C, notamment le développement du volet scolaire et l’ouverture d’un 2e point de services. Je dis souvent que le Plan C est mon « bébé » parce que j’y ai mis énormément de temps et de travail, mais c’est surtout un programme auquel je crois profondément. Grâce à nos volets d’accompagnement individuel et scolaire, nous permettons chaque année à de nombreux jeunes d’atteindre leurs objectifs de remise en action. Ce passage avec nous leur permet de se poser dans un lieu sécurisant et accueillant, de prendre le temps nécessaire pour stabiliser leur situation personnelle et de développer un projet qui répond réellement à leurs besoins et à leurs objectifs.

Pourquoi aimez-vous travailler à Perspectives Jeunesse?

Je ne viens jamais travailler à reculons! Perspectives Jeunesse est pour moi un lieu de travail agréable et respectueux du bien-être des membres de son personnel. PJ, c’est aussi un milieu stimulant où les idées bouillonnent, mais c’est surtout un milieu où on a du plaisir à travailler.

Émilie

Coordonnatrice philanthropie et communications

Pouvez-vous nous décrire votre rôle au sein de Perspectives Jeunesse (PJ)?

Je suis coordonnatrice en philanthropie et communications. En d’autres termes, j’assiste la direction générale dans la recherche de financement, que cela soit pour développer nos relations avec nos précieux donateurs et donatrices, pour organiser et coordonner des activités philanthropiques ou encore élaborer des stratégies afin d’explorer de nouvelles opportunités de sources de financement. Le volet communicationnel prend une part très importante en philanthropie. Je me concentre également sur le développement de la notoriété de l’organisme. Je développe et mets en place des stratégies afin d’offrir plus de visibilité à Perspectives Jeunesse auprès de nos différents publics cibles et de les informer sur l’impact de nos activités dans les vies des jeunes et de leur famille.

Bien que vous ne soyez pas en première ligne avec les jeunes comme l’équipe d’intervention, en travaillant pour PJ vous êtes indéniablement un acteur important dans la persévérance scolaire et sociale des jeunes. Pouvez-vous nous décrire en quoi vous faites une différence et comment vous participez à la lutte au décrochage scolaire des jeunes?

Communiquer auprès des jeunes, de leurs parents, des partenaires scolaires et sociaux nous aide à rejoindre un maximum de jeunes en difficulté en faisant connaître nos services.

Le développement philanthropique nous permet d’obtenir le financement nécessaire pour poursuivre notre mission et répondre à une demande de plus en plus forte. Ainsi, nous arrivons à nous doter d’une santé financière saine qui vise ultimement une indépendance pour pouvoir assurer nos services quoi qu’il arrive.

La communication met en lumière l’expertise et le travail extraordinaire de notre équipe d’intervention, ce qui nous permet par la suite de pouvoir aller chercher du soutien financier pour nous accompagner dans notre phase de développement qui vise une capacité d’accueil de 600 jeunes par année dès la rentrée 2023-2024.

Quelle expérience retirez-vous de votre travail à PJ? Partagez-nous ce dont vous êtes le plus fière depuis que vous travaillez à PJ.

Mon poste a été créé en août 2021. Et bien que l’organisme jouissait déjà à mon arrivée d’une identité de marque et de bons outils de communication et de sollicitation, il y avait place au développement et à la créativité. Nous devions pallier le manque à gagner des événements-bénéfice que nous ne pouvions faire en raison des mesures sanitaires dues à la COVID. Aussi, j’ai vraiment été mise directement dans le bain, dès mon entrée en poste, avec l’organisation de la 2e édition de la campagne de parrainage de Perspectives Jeunesse qui visait à remplacer l’événement bénéfice annuel Bulles et graffitis. Je suis particulièrement fière du développement de partenariat que nous avons pu faire avec la Maçonnerie Gratton dans le cadre de cette campagne. Leur parrainage et don jumelé pour le Mardi je donne 2021, aura permis de doubler le résultat de notre campagne. Une très belle réussite et une excellente nouvelle pour nos jeunes!

Pourquoi aimez-vous travailler à Perspectives Jeunesse?

Touchée à titre personnel par la cause, étant moi-même mère de deux enfants, dont un jeune vivant certaines difficultés, je suis convaincue d’être à la bonne place et suis très fière de travailler pour cet organisme qui fait une réelle différence dans la vie des jeunes et de leurs parents. Mon travail me donne l’opportunité de récolter des témoignages de participants, de partenaires et de tous les acteurs qui accompagnent les jeunes vers leur réussite. Et je dois dire que c’est vraiment impressionnant!

C’est sans parler de l’incroyable énergie de notre grande équipe de passionnés. C’est certain qu’en tant que membre de l’équipe de gestion je suis plus souvent au bureau que sur le terrain, mais lorsque vient le temps des réunions d’équipe, des journées de cohésion d’équipe ou d’activités sociales… là tu prends toute l’ampleur du mot « famille ». Car je le dis, plus que des collègues, à PJ, nous sommes une belle et grande famille.

Un dernier mot?

Je tiens à remercier la direction générale et les membres du conseil d’administration pour leur travail, leur écoute et leur bienveillance. Avec plus de 15 ans d’ancienneté, dont près de la moitié dans le communautaire, je suis admirative de la gestion et de la gouvernance à PJ. Ici, nous pouvons travailler pour une noble cause, tout en bénéficiant d’une juste reconnaissance de notre travail et implication. Les mesures mises en place par la direction, appuyées par le CA, nous permettent en tant qu’employé du secteur communautaire d’avoir une belle qualité de vie et de pouvoir mettre à profit notre expertise et notre passion au service des autres. Alors merci!

Audrey

Intervenante en persévérance scolaire, programme Option – école Amos.

Pouvez-vous nous décrire votre rôle au sein de Perspectives Jeunesse (PJ)?

Je suis intervenante en persévérance scolaire au programme Option de Perspectives Jeunesse. Je travaille au sein de l’école Amos dans Montréal-Nord. L’école Amos est une école du secteur adulte, mais accueillant des jeunes ayant la chance de terminer leur diplôme d’études secondaires avec des cours magistraux. L’école accueille des jeunes âgés de 16 à 21 ans qui n’ont pas pu terminer leurs études dans une autre école secondaire ou qui sont tout récemment immigrants. L’école offre des cours de 3 heures, un horaire sur mesure selon les besoins des élèves et la possibilité de terminer ses cours en 5 mois (2 semestres par an). Les jeunes de l’école Amos sont très réceptifs à l’accompagnement individuel qu’offre le programme Option de Perspectives Jeunesse. En plus de l’accompagnement individuel, je m’engage à animer, offrir et/ou participer à diverses activités de socialisation et de discussion avec les jeunes, spécifiquement le midi ou lors de journées thématiques. Finalement, j’ai aussi eu la chance d’offrir un atelier en classe de gestion du stress et de l’anxiété, ou encore de participer à un comité mené par les élèves en lien avec les saines habitudes alimentaires.

L’équipe d’intervention de Perspectives Jeunesse agit comme agent pivot entre les différentes parties prenantes de la persévérance des jeunes. Pouvez-vous nous expliquer ce que cela signifie concrètement dans votre quotidien d’intervenante?

Selon moi, ce rôle d’agente pivot est primordial dans l’approche d’intervention que nous adoptons à Perspectives Jeunesse. Être agente pivot, ça veut dire reconnaître, en toute humilité, les qualifications des autres professionnel.le.s en intervention. C’est aussi être capable de travailler en équipe et en communauté pour offrir aux jeunes en accompagnement les ressources les plus adaptées à leurs besoins. Par exemple, le lien de confiance que nous créons avec l’élève nous permet d’avoir accès à des besoins que les jeunes n’auraient peut-être pas assumés ou livrés d’eux-mêmes à un intervenant de l’externe. L’alliance étant bien établie entre l’intervenante de Perspectives Jeunesse et les jeunes, cela leur permet de faire confiance, à leur tour, aux nouveaux et nouvelles professionnel.le.s que nous faisons entrer dans leur vie, et ainsi d’enrichir son réseau de soutien. Cela est d’autant plus pertinent que nous ne sommes pas dans le milieu du jeune pendant les vacances d’été de 2 mois. Il est rassurant de savoir que durant cette période, le jeune aura la possibilité d’aller vers d’autres ressources s’il en ressent le besoin.

Quelle expérience retirez-vous de votre travail à PJ?

Travailler en intervention à Perspectives Jeunesse, c’est pouvoir user de toute sa créativité, de son authenticité et de ses forces pour faire des alliances avec des jeunes qui, souvent, ont eu trop peu de relations positives en lien avec le milieu académique. C’est accompagner le jeune à retrouver ses priorités, à reconnecter avec lui-même et à se voir d’une manière plus positive. À travers tout cela, c’est aussi accompagner le jeune dans des défis bien particuliers et précis, ou encore jouer un rôle de médiation entre le jeune, l’école et/ou ses proches. L’accompagnement du programme Option se concentre à redonner aux jeunes les outils de leur propre réussite. Les discussions entre l’intervenante et le jeune permettent de rationaliser certaines pensées et déjouer certains « patterns ». Par exemple, une jeune anxieuse ayant toujours eu de la difficulté à venir assister à ses cours avait perdu espoir en ses capacités de réussir. Malgré tout, elle a accepté un accompagnement et a mis en place des stratégies d’automotivation. Durant toute la session, elle a cru « avoir coulé » ses cours. À chaque rencontre, je devais lui rappeler son amélioration dans sa présence en classe et dans ses notes, qui plus est de très bonnes notes! Malgré cela, elle continuait d’avoir un discours défaitiste. Ce n’est que vers la fin de l’année, en mai, où je l’ai entendu dire pour la première fois qu’elle serait capable de réussir ses cours. Ses yeux se sont illuminés en le disant.

En quoi travailler à PJ a changé votre approche ou votre travail d’intervention?

Travailler à PJ m’a permis de sentir enfin que ma manière d’intervenir, approche centrée sur les besoins de l’usager, est une méthode valorisée et encouragée. Travailler l’intervention au rythme du jeune est une grande source de satisfaction dans mon travail. Il est précieux de ne pas sentir que nous devons précipiter les choses, puisque de toute façon l’intervention ne peut être précipitée si le jeune n’est pas prêt à passer à l’action. Bien sûr, nous devons nous adapter aux réalités du milieu scolaire, mais en général, c’est le jeune qui dicte la vitesse. Aussi, l’approche et le mode d’intervention à Perspectives Jeunesse font une grande différence en ce qui a trait au sentiment du jeune d’être compris et écouté. Plutôt que de guider l’intervention en fonction de ce que le jeune n’a pas fait, les accomplissements qu’il n’a pas encore atteints, ou encore les comportements qu’il doit arrêter d’avoir, nous misons sur le potentiel du jeune, sur ses besoins à court et moyen terme ainsi que sur sa connaissance de lui-même.

En tant qu’acteur important dans la persévérance scolaire et sociale des jeunes, pouvez-vous nous décrire en quoi et comment vous faites une différence?

Auprès des jeunes : accompagner le jeune à retrouver ses objectifs, valider ses forces, reprendre le contrôle de sa vie. Entamer des discussions permettant d’échanger sur des concepts de gestion des émotions, du stress, de l’anxiété. Nous abordons aussi les relations saines, la connaissance de soi, l’amour de soi, le lâcher-prise, l’organisation personnelle. Finalement, nous référons vers des ressources externes lorsque nécessaire.

Auprès des parents : aider le parent à mieux comprendre les enjeux que vit le jeune pour que le travail se poursuive à la maison. Inclure le parent dans l’intervention, lorsque nécessaire pour inclure le réseau de soutien du jeune dans son cheminement.

Auprès des partenaires : offrir une complémentarité avec les services offerts par les intervenants du milieu scolaire (conseillers en orientation, techniciens en éducation spécialisée, travailleurs sociaux), créer un dialogue avec les enseignants et les jeunes lorsque nécessaire, participer aux activités de l’école, offrir des ateliers, offrir une porte d’entrée pour les partenaires du communautaire.

Catherine

Intervenante en prévention de l’anxiété, programme Option – école Père-Marquette

Pouvez-vous nous décrire votre rôle au sein de Perspectives Jeunesse (PJ)?

J’occupe le poste d’intervenante en prévention de l’anxiété (IPA) à temps plein, à l’école Père-Marquette. Étant donné que le poste a été créé en janvier 2021, je suis la seule IPA de l’équipe. Cela amène son lot de difficultés, certes, mais j’ai aussi l’honneur de pouvoir identifier et participer à la construction du rôle d’IPA. J’ai environ 35 suivis individuels réguliers par année scolaire ainsi que plusieurs suivis ponctuels. Je suis disponible pour tous les niveaux, donc du secondaire 1 à 5. En tant qu’IPA, j’anime des ateliers de prévention ciblée afin de sensibiliser les jeunes et de leur permettre de mieux gérer leur anxiété et leurs émotions. Je prône énormément « l’empowerment », soit le pouvoir d’agir des jeunes et je respecte leur rythme. Nous établissons les objectifs de suivi ensemble. Après quelques rencontres, si je vois que le besoin est présent, j’accompagne et/ou réfère mes jeunes vers des services externes/ressources jeunesse.

L’équipe d’intervention de Perspectives Jeunesse agit comme agent-pivot entre les différentes parties prenantes de la persévérance des jeunes. Pouvez-vous nous expliquer ce que cela signifie concrètement dans votre quotidien d’intervenante?

Plusieurs de mes jeunes en suivi sont en détresse et le filet de sécurité que je suis en mesure de leur offrir à l’école n’est pas suffisant. Ces jeunes ont besoin d’un support supplémentaire. Grâce aux différents partenariats mis en place avec des organismes externes, des ressources dans l’école ainsi que des ressources jeunesse à l’externe, je peux les accompagner vers les bons endroits et m’assurer de leur obtenir le meilleur soutien possible. De plus, du fait que mes jeunes s’ouvrent à moi et me permettent de les aider, je suis en mesure de leur offrir le meilleur soutien possible et de les référer aux bonnes personnes.

Quelle expérience retirez-vous de votre travail à PJ? Partagez-nous ce dont vous êtes le plus fière depuis que vous travaillez à PJ.

Beaucoup trop de belles expériences… Lorsque je termine un suivi ou que j’accompagne les jeunes vers les ressources adéquates, je reçois énormément de reconnaissance de leur part. Je reçois de magnifiques témoignages de la part des directions, des parents ainsi que des jeunes. Le plus beau cadeau est de les voir évoluer et voler de leurs propres ailes en ayant enfin accès à toutes les ressources nécessaires à leur bon développement.

J’ai en tête des dizaines de bonnes expériences, mais en voici une parmi tant d’autres. Une jeune qui n’avait jamais eu de difficultés académiques ne se présentait plus à l’école au milieu de son année de secondaire 4 et s’était isolée socialement. Elle avait plusieurs symptômes dépressifs, était envahie quotidiennement par un nombre élevé de crises de panique et vivait une situation difficile à la maison avec ses parents.  Après lui avoir offert un soutien hebdomadaire (parfois plusieurs fois par semaine), je suis parvenue à créer un lien fort avec elle. Elle s’est confiée à moi et, ensemble, nous avons identifié plusieurs moyens et stratégies pour qu’elle soit en mesure de se présenter en classe et de mieux gérer ses attaques de panique. Au début, elle ne m’autorisait pas à parler avec ses parents. La santé mentale étant un sujet tabou à la maison, elle avait peur du jugement. J’ai eu l’autorisation par la suite d’écrire un courriel à sa mère qui, après quelques échanges, a démontré de l’intérêt à soutenir sa fille dans ce qu’elle vivait. J’ai mis en place plusieurs mesures adaptatives pour la jeune à l’école ainsi que travaillé en étroite collaboration avec l’éducatrice spécialisée pour qu’elle mentionne à l’équipe enseignante de prendre en considération les enjeux et la situation. Je sentais que ses parents essayaient de la soutenir, mais n’étaient pas bien outillés. Je voulais qu’elle ait un support plus personnalisé à l’externe. Après quelques mois, elle a accepté que je l’accompagne à Aire-Ouverte, un réseau de services intégrés pour les jeunes où il est notamment offert des services en santé mentale. Elle a débuté temporairement un accompagnement avec un travailleur social qui s’est engagé à faire un travail avec ses parents, mais aussi de la référer à un CLSC afin qu’elle puisse avoir un suivi complet et sur le long terme.

Je suis très heureuse de voir tout son cheminement. Elle se présente maintenant à tous ses cours, qu’elle a réintégrés un par un. Elle est en mesure de faire ses examens de fin d’année et de possiblement réussir son secondaire 4. Je reste toujours disponible pour elle comme soutien ponctuel à l’école, au besoin. Elle bénéficie d’un accompagnement personnalisé à long terme avec une travailleuse sociale au CLSC, qui offre également un soutien parental. Ses parents sont beaucoup plus impliqués dans la vie de leur fille et démontrent que son bien-être est une priorité. La jeune fait de moins en moins de crises de panique. Elle a également accès à un local d’apaisement lorsqu’elle se sent envahie à l’école plutôt que de quitter les lieux pour se rendre à la maison.

En quoi travailler à PJ a changé votre approche ou votre travail d’intervention?

Je suis beaucoup plus à l’écoute des besoins des jeunes. J’ai énormément grandi en tant qu’intervenante grâce à la confiance qu’on me porte.

En tant qu’acteur important dans la persévérance scolaire et sociale des jeunes, pouvez-vous nous décrire en quoi et comment vous faites une différence?

J’offre aux jeunes la possibilité d’avoir un accompagnement personnalisé selon leurs besoins ainsi qu’une place sécuritaire et confidentielle ou s’exprimer « sans filtre » est possible.

J’offre un soutien précieux aux parents qui souvent sont sans ressources. Je leur présente différentes ressources pouvant leur venir en aide au niveau personnel ainsi qu’au niveau du fonctionnement familial. Je peux leur offrir un suivi mensuel s’ils le souhaitent. Aussi, j’essaie de les aider à améliorer leur relation avec leur jeune. Je leur partage ses efforts, ses qualités, ses améliorations et ses bons coups. Mes appels sont des nouvelles encourageantes de l’école que reçoivent les parents à propos de leur jeune.

À l’école, je suis une ressource vers laquelle toute l’équipe peut me référer des jeunes qui ont besoin de plus qu’un suivi ponctuel. Je suis également une personne de référence lorsque l’équipe-école a des questionnements concernant des ressources externes.

J’offre une porte d’entrée dans l’école aux partenaires sociaux qui désirent venir faire connaître leurs services. Par mes partenariats, j’offre une plus grande visibilité à PJ en leur présentant nos programmes et activités.

Pourquoi aimez-vous travailler à Perspectives Jeunesse?

L’équipe dynamique, empathique, soutenante et diversifiée de PJ en dit long sur l’ambiance de travail. Je travaille en relation d’aide et je donne beaucoup de mon temps et de mon énergie aux jeunes. Par contre, je reçois autant que je donne grâce à l’équipe de feu que nous avons la chance d’avoir.

Un dernier mot?

Je suis honorée et reconnaissante de faire partie de l’équipe de Perspectives Jeunesse. À PJ, je me sens appréciée, reconnue et considérée. Je grandis énormément en tant qu’intervenante grâce à la confiance que toute l’équipe a envers moi. J’adore mon travail. MERCI!

Louis-Philippe

Directeur général

Pouvez-vous nous décrire votre rôle au sein de Perspectives Jeunesse (PJ)?

En tant que directeur général, mon rôle est d’assurer la pérennité, le développement et le rayonnement de l’organisme, mais surtout de veiller à ce que l’équipe d’intervention ait accès aux ressources nécessaires pour répondre aux besoins des jeunes qui bénéficient de nos programmes.

Je suis responsable du financement de l’organisation ce qui inclut le développement philanthropique et les relations avec les donateurs ainsi que les ententes de services avec les partenaires scolaires, de l’élaboration et la mise en œuvre du plan stratégique et des plans d’action annuels, de l’élaboration et l’application des politiques internes ainsi que du respect des lois auxquels est soumis Perspectives Jeunesse comme les normes du travail ou les règles que doivent suivre les organismes de bienfaisance. Évidemment, tout cela ne serait pas possible sans le soutien et la confiance des autres membres de l’équipe de gestion et du conseil d’administration ainsi que des donateurs, des équipes scolaires et des partenaires d’intervention.

Bien que vous ne soyez pas en première ligne avec les jeunes comme l’équipe d’intervention, en travaillant pour PJ vous êtes indéniablement un acteur important dans la persévérance scolaire et sociale des jeunes. Pouvez-vous nous décrire en quoi vous faites une différence et comment vous participez à la lutte au décrochage scolaire des jeunes?

Le plus important pour moi est de m’assurer que les décisions prises au quotidien sont représentatives de la réalité et des besoins des jeunes. Pour ce faire, il est essentiel d’assurer une gestion participative et ascendante en valorisant les expertises et les compétences de l’équipe d’intervention.

Quelle expérience retirez-vous de votre travail à PJ? Partagez-nous ce dont vous êtes le plus fière depuis que vous travaillez à PJ.

Je suis évidemment particulièrement fier d’avoir participé à la création de 17 emplois depuis mon arrivée en mars 2014. Cela nous a permis de pratiquement quadrupler notre capacité annuelle d’accompagnement individuel. Je suis fier que notre programme Option soit maintenant déployé dans 12 écoles partenaires et que notre programme Plan C compte deux points de services. Je suis également heureux d’avoir réussi à améliorer année après année les conditions de travail, mais également des relations positives et transparentes entre employés. Finalement, je suis enthousiaste face à l’adoption et le déploiement à venir de notre plan stratégique 2022-2027 qui mènera Perspectives Jeunesse à son 20e anniversaire le 23 août 2027.

Pourquoi aimez-vous travailler à Perspectives Jeunesse?

J’aime travailler à Perspectives Jeunesse, car cela me permet chaque jour de vivre mes valeurs d’entraide et d’égalité des chances et de mettre à profit mes capacités entrepreneuriales au service du développement social et économique du Québec. J’apprécie particulièrement l’immensité du talent et l’engagement de tous les employés et de tous les membres du conseil d’administration.